Nom du personnage : Ajay
Age : la trentaine
Ethnie : Vendhyen
Religion : Déesse Katar
Métier: Katari*
Description physique :
De taille moyenne,corps athlétique alliant agilité et puissance.Crâne rasé et une barbe noir bien fourni.bande noir au yeux.
Caractère (grands traits,qualité,défauts):
taciturne,imprévisible,sanguinaire.
Compétences:
-Expert en combat et armes , de préférence les dagues ensuite la hache et l'épée.
-Poison et premier soins.
-Art des ombres.
BG :
Tapis dans l’ombre de la jungle à la lisière d’un ancien temple en pierre noir.Cette nuit était pluvieuse.
-Ajay,mon frère nous sommes prêt,nous attendons ton signal. Notre cible serait dans ce temple
-j’ai un mauvais pressentiment,j’ai du mal à croire qu’une prêtresse d’asura viendrai dans ce lieu.Allons y avec prudence nous sommes peu
Il donna le signal et les Kataris entrèrent dans le temple éliminant les quelques gardes sur leur chemin.
Une fois la pièce principale atteinte Ils encerclaient la prêtresse.
Celle-ci se retourna :
- Nous vous attendions assassin.
Elle tapa dans ses mains et la pièce fut remplît de soldat.
Je suis désolé mon frère, mon plus grand défaut est la cupidité.Il frappa Ajay à la tête de son bouclier. Celui-ci tomba inconscient.
-Tuer les tous ! : cria la prêtresse.
-Non pas mon frère,nous avions un accord.
Depuis l’exil:
Le Katari a survécu à cette épreuve, il a laissé son art des ombres de côté pour la force brutes. Après tout les tribus sauvages comprennent mieux quand leurs têtes roulent à côté de leurs corps..Ajay a ensuite jeter ses dagues du haut du fortin contre une armes plus tranchante.En le croisant sur les terres d’exiles vous pourrez constater de vos yeux quelques changement physiques..
*Ces guerriers incorruptibles tuent n’importe qui du moment qu’ils sont payés. Ils le font à leur façon, et au moment qu’ils choisissent. Ce sont de puissants guerriers et n’hésitent pas à se lancer dans des missions d’assassinat suicide, sans aucune chance de retour. Ils y sont encouragés par la promesse d’une vie éternelle au paradis de Katar s’ils meurent dans leur sainte tâche. Même la Devi qui est à la tête du pouvoir religieux n’est pas à l’abri de ces assassins, et ses gardes du corps passent leur temps à les traquer.